Première journée de la prévention des risques professionnels
- Les collectivités territoriales de Tarn et Garonne sensibilisées aux troubles musculo squelletiques
- M. LABRUYERE Président du CDG 82,
- M. LARROUY Conseiller Santé et Sécurité au Travail CDG 82,
- Dr JONQUERES Médecin de prévention CDG 82
- la prévention qui va consister principalement à identifier et supprimer (sinon réduire) les sources de risques possibles, et à adapter si besoin les postes de travail ;
- l’accompagnement des agents souffrant de TMS, qu’ils soient d’origine professionnelle ou privée (sportive ou domestique) afin de les aider à gérer la douleur.
Le 4 octobre 2012, le Pôle Santé et Sécurité du Centre de Gestion de la Fonction Publique Territoriale de Tarn et Garonne a organisé sa première journée de la prévention des risques professionnels sur le thème des TMS, avec le soutien du FNP-CNRACL [1], la MNT [2], le groupe SOFAXIS, la CARSAT Midi-Pyrénées, le CNPK [3] et l’association des Maires de Tarn et Garonne.
De gauche à droite :
Détail de la journée complète Douleurs cervicales, souffrances aux articulations, tendinites, gêne fonctionnelle, syndrome du canal carpien, épicondylite du coude, etc. Les troubles musculo-squelettiques (TMS) sont une des préoccupations les plus importantes en santé au travail au niveau national.
Favorisées notamment par des mouvements répétitifs, des postures négatives, un travail en position statique, les vibrations, le stress mais aussi le vécu physiologique des agents.
Les TMS représentent dans la Fonction Publique Territoriale, 92 % des maladies professionnelles déclarées et 95,2 % des arrêts de travail, (données FNP-CNRACL 2009).
« Vision bilatérale du risque »
Le CDG82 a tenu à présenter au cours de cette journée les différentes formes d’actions qu’il est possible de mettre en œuvre pour lutter contre ces TMS :
Cette vision bilatérale du risque, (l’avant et l’après TMS) est importante pour les collectivités. Pour celles-ci, la gestion de ces affections constitue aujourd’hui un enjeu majeur que ce soit sur le plan humain, organisationnel ou financier, compte tenu des difficultés qu’elles rencontrent dans le reclassement des agents concernés.