Page mise à jour le 05 mai 2011
L’employeur doit donc s’assurer, lors de la demande de validation, que celle-ci comporte bien l’ensemble des services susceptibles d’être validés. Une période de services de non titulaire omise lors d’une première demande ne pourra pas faire l’objet d’une validation complémentaire.
L’ouvrier ne pourra plus jamais présenter de nouvelle demande. Cependant, si l’ouvrier a renoncé à une validation qui relevait de l’ancienne réglementation, il ne peut se voir opposer le caractère définitif de la renonciation prévu par les décrets 2004-1056 et 2004-1057 du 5 octobre 2004. Il a donc la possibilité de présenter une nouvelle demande. Par contre, en cas de nouvelle renonciation, ces services ne pourront plus jamais être admis à validation.
Les périodes pour lesquelles l’ouvrier s’est vu opposer un refus au titre d’une réglementation antérieure pourront faire l’objet d’une nouvelle demande (exemple : temps incomplet désormais validable dans les trois fonctions publiques). Ces nouvelles demandes de validation ne seront acceptées par l’établissement employeur que si elles sont formulées avant le 31 décembre 2008.